Dokyou Ninja-Sama ^^

Prénom: Dokyou
Surnom: Nanashi
Age: 12 ans
Sexe: Masculin

Village: Konoha
Clan : Aucun
Rang :Genin
Homo ou Hétéro: Hétéro
Aime: faire de longue promenade dans la forêt, le jeu de go ou bien toute sorte de jeu de hasard, la pluie.
Déteste:Que l'on puisse dire du mal de sa mère, ou de son père, les lâches, l'injustice
Caractère :C'est quelqu'un de courageux et à la forte volonté. Il est aussi mature que peut l'être un enfant de son âge. Dokyou est quelqu'un qui ne sait pas se qu'il veut, toujours à hésiter sur les choix qu'il doit faire. Il se cherche, il essaye de savoir qui il est vraiment et de quoi il est vraiment capable. Sa plus grande peur est de faire le mauvais choix et de ne pas être à la hauteur. C'est quelqu'un qui a du coeur mais distant avec les autres, il est sensible et pour se protéger s'est créer une attitude froide envers les autres.


Taille :1m58
Poids:45 kilos
Yeux:De beau yeux doux et rieur, et de couleur marron
Cheveux:Ces cheveux sont d'un blond très clair à la limite du blanc


Histoire :Peu de personne connaisse véritablement son histoire. Ce n'est pas la pire des histoires mais pas la plus belle non plus.
Tout commença par une nuit orageuse, dans une petite maison dans le village de konoha, un étrange cri, suivit de pleure, caractéristique du nouveau né. En s'approchant d'un peu plus près on peut aperçevoir par l'une des fenêtres une pièce faiblement éclairée. Sur l'un des lits, un femme en sueur. Dans ces bras, entouré d'un drap blanc, un bébé regardait avec calme et curiosité sa mère. A leurs côtés se tenait un homme à la forte carrure, souriant. On aurait pu croire à une famille heureuse, c'était le cas mais malheureusement les choses changent. Comme si le destin prenait un malin plaisir à faire souffrir des gens simples et honnorables. Mais je m'égare, continuons plutôt la suite de cette histoire.

Il se passa plusieurs années où cette famille vécut dans le plus grand bonheur, une famille idéale, des parents comme tous le monde devrai avoir. Leur enfant nommé Dokyou était précoce et sage et faisait la fierté de ces parents. Il avait comme idôle son père et faisait tout pour lui plaire. Il adorait les moments qu'il passait avec, où celui-ci l'emmenait à faire de longue ballade, tout en lui apprenant les rudiments de la vie. Comme à chaque fois Dokyou attendait sur le pas de la porte. Attendant que son père revienne de mission. Il savais quand il revenait car à chaque fois un vieux monsieur ,qu'il aimait bien mais ne connaissant que très peu, venait de temps en temps chez lui pour parler avec sa mère, profitant par la même occasion de le prévenir quand son père serrait de retour. Il ne savait pas pourquoi sa mère et son père avait un profond respect pour ce vieil homme mais à cinq ans cela n'avait pas encore tellement d'importance de le savoir.

Mais cette fois-ci son père ne revînt pas, Dokyou attendit encore et encore, ne comprenant pas pourquoi il n'arrivait toujours pas. La lune se leva et il aurait pu rester assis encore bien longtemps mais c'était sans compter sur sa mère qui le pris dans ces bras et alla le mettre dans son lit. Le magnifique sourire de sa mère était des plus étranges, il avait l'impression que quelque chose n'allait pas. Et c'est remplis d'inquiétude qu'il s'endormit, d'un sommeil agité.

Durant cette nuit Dokyou se réveilla, il entendait une conversation, une voix grave et réconfortante, ainsi que des pleurs. Le jeune garçon se leva, les yeux embrumé et se diriga vers la source de cette voix. Cela le conduit jusqu'à la cuisine. Là, il aperçut sa mère dos à lui, assis sur une chaise, accoudé à la table et tenant son visage entre ces mains, pleurant. Une autre personne assise juste à côté, le vieil homme. Cette fois-ci, il en étais sur, quelque chose était arrivé à son père. Le vieil homme se retourna vers lui, et pour la première fois il pu aperçevoir son regard exprimer un quelconque sentiment, de la peine. Les larmes du petit garçon s'écoulèrent le long de ces joues, il n'avait pas besoin d'en savoir plus et il se précipita vers sa mère qui le pris et le serra très fortement dans ces bras.

Le lendemain la mère de Dokyou vint le réveiller, d'une main fébrile le secoua avec douceur. Celui-ci ce réveilla, regarda sa mère, elle avait un grand sourire et les larmes aux yeux. Elle s'approcha de lui, son parfum si doux et si familier le rassura quelque peu.

"dépéche-toi....On va voir ton père."

Il se leva aussitôt et partit s'habiller. Une fois prêt il se précipita dehors et se mit à attendre sa mère. Celle-ci sortit quelques minutes plus tard, plus belle que jamais. Ce sera sans doute la dernière fois qu'il verra sa mère heureuse. Il vint près d'elle est plaça sa petite main dans celle de sa mère, si douce, si agréable au toucher. Il partirent enfin et marchèrent jusqu'à l'hôpital. une autre chose qui le marqua c'est l'attitude de nombreuses personnes sur leur passage. Leur regard était emplit d'animosité, quant à sa mère elle marchait la tête haute, faisant comme si elle ne remarquait rien.

Ils marchaient maintenant parmis les nombreux couloirs de l'hopital et cet aspect aseptiser, propre,et tout blanc ne faisait qu'accroitre le malaise de notre jeune garçon. Il se trouvait enfin devant une porte, surement leur destination et surement là où se trouvait son père. Il devança sa mère et ouvrit la porte, se précipitant dans la pièce. Il s'arreta net, l'image qu'il vit le glaça d'effroie.
Dans le lit devant lui, un homme qu'il eu du mal à reconnaître, le visage à moitié bandé, une jambes manquante, le regardant avec froideur, sans expression. C'était bien son père et s'avança timidement vers lui. Une fois assez proche il attrapa la main de son père. Celui-ci détourna le regard vers la fenêtre, et enleva sa main. Au bord des larmes Dokyou s'approcha un peu plus, saisi la manche de sa chemise d'hopital. Mais son père restait toujours impassible, l'ignorant complètement. La main de sa mère se posa sur son épaule et par une lègère pression l'amena à elle. Une infirmière le prit par l'un de ces poignets, et du forcer pour qu'il la suive. Quant à Dokyou il fixait toujours son père, pleurant à chaudes larmes. La porte se referma face à lui, et l'infirmière l'amena dans une pièce impeccable, avec de nombreux siège. Elle lui dit de s'asseoir et qu'elle reviendrai rapidement. Il resta assis, fixant le vide, les larmes coulant à flots.

Plusieurs jours passèrent avant que son père ne revienne. Dokyou appréhenda son retour et tenta timidement d'aller lui parler mais celui-ci s'enferma dans sa chambre. Il n'en ressortais que très rarement et ignorait complétement son fils. En tout cas cette absence si soudaine de l'être aimé, idôlatré, le blessé profondément, ce jeune garçon qui ne comprenait pas pourquoi son père ne voulait plus lui parler.
Au fur et à mesure que les semaines, les mois passèrent son père se mit à boire de plus en plus. Dans sa chambre il pouvait entendre pratiquement chaque soir, les cris de son père, ainsi que les pleurs de sa mère. Cela n'avait jamais été plus loin que ça. Et à chaque fois sa mère venait dans sa chambre, le prenait dans ces bras et, parfois, s'endormait avec lui.

Ce devait être l'année de ces 9 ans quand le drame arriva. Il était de retour de l'école, comme à l'accoutumé quand il aperçut une dizaine de personnes devant chez lui. Il stoppa sa marche et attendit un moment avant de se rendre compte que certains d'entre eux était des médecins, la porte d'entrée quant à elle, était grande ouverte. L'ambiance était des plus sinistres. Certains villageois sortait de chez eux, regardant avec curiosité ce qui se passait. Le coeur de notre jeune Dokyou se mit à bondir, ces jambes tremblaient, il lacha ces affaires et courut . Avant qu'il n'ait pu passer l'encadrure de la porte des bras le saisirent et l'empêchèrent d'aller plus loin. La seule chose qu'il aperçut était une main, ensanglantée, une main fine et délicate. Sa gorge se noua, les larmes lui montèrent aux yeux. Hurlant le nom de sa mère, il se démenait pour essayer d'échapper aux personnes qui le retenaient.
Enfin calmé, il était devant chez lui, en état de choc. Hagard, les yeux dans le vide. Petit à petit les gens se dispersaient. Un homme que connaissait Dokyou sortit de la maison. C'était le vieil homme, il s'appellait kambeï. Il vint près de notre jeune ami et attendis avec lui, sans un mot. Cela dura plusieurs heures et Dokyou finit par s'endormir, sur le vieux kambeï.

Dokyou se réveilla dans son lit et décida de rester dedans, toute la journée, l'esprit trop perturbé pour faire autre chose. Le lendemain il refit de même mais la faim le poussa à sortir de sa chambre. La maison était silencieuse, il avait l'impression d'être seul mais en arrivant dans la cuisine il vit son père, assis, se vidant une bouteille de saké. Dokyou s'avança avec timidité, sortit quelque chose à manger et prit la direction de sa chambre. Alors qui'l était sur le point de sortir de la pièce il entendit la voix de son père s'adressant à lui, pour la première fois depuis très longtemps.

"Tu dois aller à l'école..."

"Pourquoi?...."

"Pour devenir fort..."

" POURQUOI? Pourquoi devrai-je devenir fort?...Alors que..que maman...est..morte...ET POURQUOI DEVRAIS-JE T'ECOUTER???HEIN?? COMMENT CE FAIT-IL QUE TU ME PARLE? C'EST DE TA FAUTE SI MAMAN EST...."

Ce qui se passa ensuite marqua à vie le jeune Dokyou. Il ne vit pas son père se lèver, celui-ci était déjà debout et devant lui avant qu'il ne pu remarquer quoi que se soit. Et son père lui donna un coup de béquille sans retenu, se qui envoya valser le jeune garçon sur quelques mêtres. Son père s'avança et le saisit par le col, son haleine empestait l'alcool.

"POURQUOI?!!! POURQUOI tu doit devenir plus fort?...Parce que tu ne pourra jamais compter sur qui que se soit!...Tu sera toujours seul...Et je t'interdis de penser que c'est moi qui..Je l'aimais....Je n'aurai....je..."

Son père le reposa sur le sol, son fils qui par fierté essayait de ne pas pleurer. Son père se mit sur son seul et unique genoux et regarda Dokyou droit dans les yeux.

"Tu devra devenir fort pour ne pas mourrir...ne..pas..mourir...mon fils..."

Il tomba en larmes, s'effondra sur le sol. En voyant son père ainsi, Dokyou sentit son coeur se serrer. La vue que lui offrait son père était pitoyable. Il fit demi-tour et partit se réfugier dans sa chambre.Il ne savait plus quoi penser de ce père qui par sa faute avait tué sa mère, ou alors étais-ce la sienne? Pourquoi à lui? pourquoi ce malheur devait-il s'abattre sur sa famille? Pourquoi tout ne pouvais pas redevenir comme avant? Que de question trottaient dans la tête de cet enfant pourtant si jeune.
Durant ces trois dernières années les relations entre le père et son fils ne s'améliorèrent, ni ne se détériorèrent. Chacun d'eux restaient dans son coin. On pourra tout de même noter une chose, c'est que durant ces quelques années, le vieux kambeï rendait régulièrement visite à ces deux protégés, principalement à Dokyou, il y prêtait une attention toute particulière. Et à chaque fois le ton monter entre le vieil homme et le père de Dokyou, sans que l'on sache pourquoi.

Malgré tous ce qui c'était passé ce jour là, Dokyou avait gravé dans sa tête ce qu'avait prononcé son père. Il se disait finalement qu'il avait raison. Tous ceux auquel il s'était attaché, avaient fini par le laisser seul. Il finit par y croire fortement et s'éloigna de plus en plus de ces amis.


Armes: Aucune de particulière.

Affinité: Raiton/Fûuton
Kawarimi no jutsu
Henge No Jutsu
Bunshin no jutsu

Voila j'espère bien m'amuser ici

Bienvenue a toi frérot

N'hésites pas si besoin.

Tu connais déja tout du forumactif donc mdr

Oki Merci a toi

bienvenu ^^ et bonne présentation

Merci a toi